Œuvres complètes de François Villon

« Quand je me lamente de ma pauvreté, Le cœur me dit souvent : « Homme, ne t’afflige pas tant Et ne montre pas une telle douleur ! Si tu n’as pas autant qu’eut Jacques Cœur, Mieux vaut vivre dans un grossier manteau, Pauvre, qu’avoir été seigneur Et pourrir dans un riche tombeau. »

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